Code de déontologie

Ce document doit encore être révisé et accepté par le C.A. des MAUI

La télé étudiante de CKUM s'entend à suivre les principes suivants :
1. Suivre la déclaration de principe de la FIJ sur la conduite des journalistes (ci-dessous) autant quant à l'actualité diffusée sur son poste you-tube que dans le code de conduite éthique de ses productions.
2. Ne présenter que des vidéos de langue française.
3. Détenir la permission des créateur.rice.s des vidéos avant de les poster sur notre site.
Ces principes s'appliquent autant aux productions vidéo de CKUM-TV que de celles d'autres étudiant.e.s diffusées sur ce site.

Déclaration de Principe de la FIJ sur la Conduite des Journalistes
La présente déclaration internationale précise les règles de conduite des journalistes dans la recherche, la transition, la diffusion et le commentaire des nouvelles et de l'information et dans la prescription des événements.
I.    Respecter la vérité et le droit que le public a de la connaître constitue le devoir primordial du journaliste :
II.    Conformément à ce devoir, le journaliste défendra, en tout temps, le double principe de la liberté de rechercher et de publier honnêtement l'information, du commentaire et de la critique et le droit au commentaire équitable et à la critique loyale.
III.    Le journaliste ne rapportera que les faits dont il/elle connaît l'origine, ne supprimera pas les informations essentielles et ne falsifiera pas de documents.
IV.    Le journaliste n'utilisera que des moyens équitables pour obtenir des informations, des photographies et des documents.
V.    Le journaliste s'efforcera par tous les moyens de rectifier toute information publiée et révélée inexacte et nuisible.
VI.    Le journaliste gardera le secret professionnel concernant la source des informations obtenues confidentiellement.
VII.    Le journaliste prendra garde aux risques d'une dicrimination propagée par les médias et fera son possible pour éviter de faciliter une telle discrimination, fondée notamment sur la race, le sexe, les moeurs sexuelles, la langue, la religion, les opinions politiques et autres et l'origine national ou sociale.
VIII.    Le journaliste considérera comme fautes professionnelles graves: le plagiat; la distortion malveillante; la calomnie, la médisance, la diffamation, les accusations sans fondement; l'acceptation d'une quelconque gratification en raison de la publication d'une information ou de sa suppression.
IX.    Tout journaliste digne de ce nom se fait un devoir d'observer strictement les principes énoncés ci-dessus. Reconnaissant le droit connu de chaque pays, le journaliste n'acceptera, en matière professionnelle, que la juridiction de ses pairs, à l'exclusion de tout intrusion gouvernementale ou autre.

(Adoptée au Congrès mondial de la FIJ en 1954. Amendée au Congrès mondial de 1986.)